Le chant est un prochain jeu d’horreur et d’aventure des développeurs de jeux pour la première fois, Brass Token. Le jeu est publié par Prime Matter et a été partiellement financé par le Fonds des médias du Canada. Dans une récente interview avec GamesBeat, le PDG de Brass Token, Mike Skupa, a parlé un peu de Le chant et ce qui l’a inspiré à faire ce jeu de cette façon.
Dans ce jeu d’horreur à la troisième personne, une femme nommée Jess Briar a décidé de visiter la retraite spirituelle de Prismic Science après avoir fait face à son traumatisme par elle-même pendant assez longtemps. La retraite au nom déjà suspect est située sur une île isolée. Les invités de la retraite sont ouvertement amicaux, n’accèdent pas à leur téléphone et portent tous le même costume spirituel. Une nuit, dans une structure géométrique, le groupe participe à un rituel qui tourne terriblement mal. Des créatures anciennes et même magnifiques hantent désormais les habitants de l’île, les rendant fous. Découvrez la bande-annonce de l’histoire pour Le chant dessous.
La plupart du temps, cela dépendait de la taille de l’équipe et de ses capacités. Au départ, Skupa dit que l’inspiration était aussi simple que « que se passerait-il si vous aviez un réveil spirituel, et cela s’est avéré être plus une expérience horrible que positive ». Cela ressemble un peu à une question à laquelle on a déjà répondu plusieurs fois, mais cela ne veut pas dire que ce n’est pas une bonne question. L’horreur consiste à explorer nos peurs, il est donc intéressant de noter que la recherche de l’illumination qui se traduit par une forme d’horreur cosmique est un thème familier. Skupa a continué avec le fait qu’une île éloignée, une technologie limitée et des tenues assorties ont énormément aidé son équipe et ont été prises en compte dans le choix de cette histoire.
Skupa a mentionné vouloir créer une histoire entièrement originale avec des monstres originaux malgré les thèmes familiers. Bien que l’histoire soit une horreur cosmique, les monstres ne sont pas basés sur les traditions de Lovecraft. Au lieu de cela, dit Skupa, « l’équipe artistique a pris des symboles comme la géométrie sacrée ou les mandalas et a créé des créatures à partir de ces formes. » Le but est de créer des monstres psychédéliques qui pourraient être considérés comme beaux sinon impressionnants. Il veut créer de l’horreur sans le sentiment granuleux et dérangeant que la plupart des jeux d’horreur ne relâchent pas. L’accent serait plutôt mis sur la création de « merveilles d’un autre monde » et d’un mystère ponctué de moments d’horreur troublants. Les monstres ont l’air intéressants, même s’il y a des réserves quant à la création de jolis monstres. Cela peut être une combinaison gagnante. Par exemple, ça nous rappelle un peu le film Annihilation avec son cadre magnifique mais mortel.
L’actrice qui joue le protagoniste, Siobhan Williams, a également pesé sur l’interview. Elle a qualifié le jeu d’horreur new age parce qu’il aborde les thèmes des retraites new age avec un humour « ironique ». Comme le pyjama spirituel assorti peut-être ? Williams mentionne également que Jess souffre d’attaques de panique, et c’est un autre aspect original du jeu. Peut-être. Il convient de mentionner que les barres de santé mentale sont courantes dans les jeux d’horreur cosmiques. Il sera intéressant de voir comment ces attaques de panique entreront en jeu lorsque le jeu sortira.
La prémisse n’est peut-être pas aussi originale ou excitante qu’ils le pensent, mais pour un premier jeu, ça a l’air vraiment bien. L’histoire est suffisamment familière pour attirer les fans, alors j’espère qu’elle est suffisamment divertissante pour les garder.
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