Battez-les, Phantom Thieves
À ce stade, Atlus ne peut pas faire de mal en ce qui concerne la série Persona.
Maintenant, tout le monde a son préféré récent Persona (3-5), et pour créer un peu de suspense, je ne vous dirai pas que 4 est à moi. Attendez, je pense que j’ai foiré là-bas.
Persona 5 gifles aussi. Et c’est toujours amusant comme un beat ’em up.
Persona 5 Strikers (PC, PS4) [reviewed], Interrupteur)
Développeur: Omega Force, P-Studio
Éditeur: Atlus
Sortie: 20 février 2020 (JP) | 23 février 2021
PDSF: 59,99 $
À ce stade, nous n’avons pas encore complètement parcouru Persona 5 Strikers, mais il suffit de dire que nous comprenons l’essentiel.
Je vais commencer par la bonne nouvelle sur les options dans un premier temps: vous avez de l’audio en anglais ou en japonais disponible au début. C’est une excellente nouvelle pour les gens qui préfèrent l’un ou l’autre des acteurs, mais il y a au moins une concession de gameplay qui ravira toutes les personnes impliquées. Oui, ce n’est autre que les paramètres modernes de «framerate» ou «graphic», qui se concentrent respectivement sur les performances ou les visuels.
Attendez. Tiens le téléphone. Paramètre « Framerate » dans un jeu Omega Force? Sommes-nous arrivés, en tant que civilisation? En tant que culture? Peut être. Mais en ce qui concerne ce jeu, le framerate est plutôt stable, dans mes tests de version PS4 sur PS5. Nous n’avons pas pu essayer les éditions PC et Switch.
Alors creuser avec toutes les tables de côté, qu’est-ce que Persona 5 Strikers? En termes simples, c’est une sorte de continuation qui se déroule à peine quelques mois après les événements du jeu de base. Le gang entier est aspiré dans une autre aventure dans une réalité / un plan différent, et c’est parti pour les courses. Bien qu’il soit encore trop tôt pour juger du mérite de l’histoire elle-même, je suis profondément intrigué et j’apprécie qu’il ne s’agisse pas d’une retombée agitée.
Le jeu suppose en quelque sorte que vous ayez déjà une certaine connaissance du casting de Persona 5, mais le gargantuesque JRPG n’est pas obligatoire, pour ainsi dire. Vous pouvez obtenir l’essentiel (c’est un beat ’em up finalement) simplement en glanant des traits de caractère et des récits dans le jeu. Une partie de ce récit est affichée via des messages texte entre les acteurs, ce qui se traduit par de jolies petites séries de plaisanteries. Mais vous obtenez également des cinématiques entièrement exprimées avec un effort réel, le tout avec l’esthétique jazzy et audacieuse de Persona. Oh, et une bonne partie de refroidissement entre les scénarios, se promener dans des parties (bien que très limitées et en tunnel) de Tokyo, acheter des choses et s’engager dans des bits de RPG tertiaires.
Cela ressemble à une véritable extension de l’univers Persona 5, ce qui est un énorme avantage en termes de réduction de la pourriture de la formule mécanique Omega Force. En fin de compte, vous appuyez toujours sur un bouton d’attaque de base et enchaînez des combos avec un bouton d’attaque spécial (et ils sont toujours Square et Triangle sur les consoles PlayStation). Mais vous ajoutez également le panache des supers centrés sur Persona qui sont des explosions d’anime plus grandes que nature, ainsi que le plaisir d’invoquer des personnages et de tirer votre arme sur des esprits malheureux.
Il est encore trop tôt pour dire si cette formule éprouvée et vraie dépassera son accueil, mais Persona 5 Strikers a l’air vraiment bien jusqu’à présent, en tant que bagarreur Omega Force et en tant que jeu Persona. C’est une affirmation audacieuse à coup sûr, mais cela m’a déjà attrapé avec la promesse de plus de Persona. Restez à l’écoute pour notre examen complet.
[This review is based on retail builds of the game provided by the publisher.]
